Présentation d'Alcibade Tar Cedrin

Gentes dames je vous souhaite le bonjour,

Je vais m'introduire en quelques mots bien que le sujet soit ample et ma plume féconde.

Je suis né il y a de cela fort longtemps au sein d'une fort noble famille d'Ashenvall, étant l'aîné de ma famille on me dirigea naturellement vers la voie la plus noble, celle de la plume.
Je fis donc mes études dans la merveilleuse école naturelle académique (ENA) où je passais ma vie entre études et orgies.
Terminant major de ma promotion (promotion Administrateur Général Aloïsyus van Elfing), j’obtins sans soucis un poste de gentilhomme d'ambassade à Stormwinde.
Une sombre histoire de parties fines avec une dizaine de gnomettes dans la salle du conseil royal (montée de toute pièce par des fâcheux, il va sans dire), m'obligea à quitter la diplomatie, je devint donc professeur de littérature comparée à Stormwind.
D'autres ennemis farouches réussirent circonvenir des parents d'élèves qui m'accusèrent de détournement de mineure sur une charmante demi-naine de 3eme année.
Malgré les sommes que ma famille déboursa, je fus obligé de quitter cette chère université.
C'est lors d'une épique beuverie avec les membres de la loge Kappa Sigma (d'où je sortais d'un gâteau déguisé en lapin bleu), que je fis connaissance de Pericles superbe jeune guerrier qui m'initia à l'art de bander tous les arcs et à manier habilement toutes sortes d'objets plus ou moins durs et contondants.
Sans y penser je devins un guerrier, et comme depuis longtemps je m'intéressais aux métaux rares (thèse de doctorat sur la fissibilité du Thorium à très haute vitesse), je devins aussi forgeron (d'où la fameuse chanson : il tape sur des métaux et ça lui va bien...).
Mais sans un sous, je dus trouver une charge d'écuyer auprès du très noble et très honorable baron Don Hernando Pacheco de Algua.
Devant mes talents immenses je devins aussi son secrétaire, rédigeant courrier plus ou moins officiels et essayant les quelques fois que j'en eut l'occasion de lui obtenir un rendez vous avec une charmante jeune femme dont ma discrétion m'oblige à taire le nom (cela commence par B et se termine par y).
Ce grand seigneur étant un paladin (du genre distingué et sympathique mais pas doué avec la gente féminine), j'obtenais de ne pas vivre dans le monastère avec lui mais en ville, plus précisément dans l'auberge du goret aviné où dans une saine ambiance de franche camaraderie, j'échange des considérations sur la philosophie poste Kandienne avec des compagnes de rencontre.

Ma présence dans ce club sympathique qu'est votre guilde est lié au tombé impeccable de la robe de Goody et à la mèche rebelle de Dame Berky.

Mes tendres hommages belles dames.

Ah j'allais oublier, je ne suis pas le seul homme de ce club donc, bonjour à tous nobles combattants de la vaillante alliance (c'est don Hernando qui m'a soufflé ces mots...)