Et Vlan...

Suffit de regarder dans l'onglet de guilde à quand remonte les dernières connexions pour voir qu'il y a eu désertion proggressive (enfin désertion est un super grand mot qui ne convient pas ^^)

Que faisons-nous les amis?

Bien sûr il y a les guerres d'Alliance
Et les héros qui vont sans guilde
Bien sûr tout ce manque de chance
Il n'y a pas de vie sans guide
Bien sûr l'épique n'a pas d'odeur
Mais pas d'odeur me monte au nez
Bien sûr on marche sur les fleurs
Mais voir une amie pleurer!

Bien sûr il y a nos défaites
Et puis la mort qui est tout au bout
Nos corps inclinent déjà la tête
Étonnés d'être encore debout
Bien sûr les amis infidèles
Et les espoirs assassinés
Bien sûr nos cœurs perdent leurs ailes
Mais mais voir une amie pleurer!

Bien sûr ces villes épuisées
Par des raids de grands enfants
Notre impuissance à te garder
Et nos souvenirs qui foutent le camp
Bien sûr le temps qui va trop vite
Et le jeu qu'on devra quitter
La vérité qui nous évite
Mais voir une amie pleurer!

Bien sûr nos miroirs sont cruels
Ni le courage d'être JcJ
Ni l'élégance d'être fidèles
On se croit forts on est petits
Et tous ces hommes qui sont nos frères
Tellement qu'on est toujours blessés
Quand en partant ils nous lacèrent
Mais voir une amie pleurer!

C'est beau comme du Brel ;-))
Mais si triste aussi !
Moi je préfère celle là (mais d'Aznavour)

Ils s'en sont allés
Aussi loin que leur monture pouvait les emporter
Pour savoir ce qu'on trouvait au bout de l'univers
Pour savoir où finissait la terre

Ils se sont perdus
Entre le soleil et l'ombre qui n'en finissait plus
Accrochés à leurs épées les yeux vers l'horizon
A deux doigts d'en perdre la raison

Pour pouvoir tenir
Pour ne pas se laisser mourir
Ce qu'il leur a fallu subir
Le saura-t-on jamais ?
Mais Elune leur a donné
Des armes violettes pour esclaves
Et des sorts déchainés
Et les clés d'un paradis d'un monde merveilleux
Des instances aux trésors fabuleux, fabuleux

Ils étaient partis
Parce qu'ils devaient trouver leur monde trop petit
Dégoûtés par les amis, déçus par leurs amours
Fatigués de vivre au jour le jour

Les uns sont restés
Et leurs noms sont maintenant appris des écoliers
Ils ont dû mourir un jour en contemplant aux nues
Les étoiles d'un ciel inconnu

Certains moins heureux
Sont un jour revenus chez eux
Pour vieillir au coin d'un grand feu
Dévorés de regrets
Mais d'autres partiront
Et ce qu'on fait leurs aînés
Ceux-là le referont
Quand la terre n'aura plus aucun secret pour eux
Ils iront conquérir dans les cieux
Ces eldorados, ces immensités
Dont nous font cadeau les aventuriers


Bisous !

Je préfère aussi la version d'Alcy !
Personne n'est mort boudiou, ni meme blessé! Certains ont juste pris un peu de liberté....qu'y a t'il de mal à cela?

POUTOUX !!